DEAD LINE ~ Never cross it...
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 Burn, Let it all burn...

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Alec D. Jamson
Alec D. Jamson
Admin ♠ There is only Hope



messages : 230
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BEHIND THE LINE
✪ Groupe: ARMY
✪ My age: 32 Y.O
✪ Relationships:

Burn, Let it all burn... _
MessageSujet: Burn, Let it all burn...   Burn, Let it all burn... Icon_minitimeLun 24 Jan - 0:24




Alec Dane Jamson

"Tell me would you kill, to save a Life ? Tell me would you kill,
to prove you're right ? Crash, Crash, burn,
let it all burn." This Hurricane.


32 ANS ϟ AMERICAIN ϟ MILITAIRE ϟ CELIBATAIRE ϟ ARMY ϟ MAJOR
Burn, Let it all burn... 566540Alec1
© 'Ric-Texas-flood



Drôle ϟ Violent ϟ Sarcastique ϟ Torturé ϟ Déterminé ϟ Dragueur ϟ Sévère ϟ Sensible ϟ Obstiné ϟ Rebelle


    ✥ WHAT A MADNESS WORLD
« Je suis arrivé à Dundee il y’a maintenant quelques temps. Dans un seul but. Tout ce que j’y ai vu c’est un chaos caché parmi les quelques rires qui subsistent encore. Je ne vois pas beaucoup la civilisation dite « normale ». Je suis beaucoup plus souvent au Sud qu’ailleurs pour la trouver Elle. Ces infectés, il faut en finir, protéger coûte que coûte la civilisation, c’est ce qu’il n’arrête pas de nous dire les supérieurs, les Colonels. Massacrer les Rebelles aussi, heureusement que quelques militaires ont encore un peu de bon sens et pensent l’inverse. Dundee ? C’est une ville dont personne ne s’occupe ou presque. Tout n’est que désordre, du moins de ce que j’y vois, cette saloperie de virus n’est pas prête d’arrêter de s’accroître. C’est le bordel je vous dis. Si j’étais vous, je n’y mettrais pas les pieds. Mes rares amis ici ont quasiment tous changés, se perdant dans la violence et la tuerie, c’est une guerre ouverte. Une guerre qui ne cessera que lorsque l’un des deux camps aura gagné. Que Dieu nous vienne en aide. ».



    ✥ HEY! LITTLE YOU! DON'T HIDDIN' URSELF.
• ton petit nom, c'est quoi ?: Haha !
• et ton surnom ou ton pseudo ?: Texas-Flood
• c'quoi ton âge ?: 21 printemps
• t'aimes les bonbons, les frites et le chocolat ?: Oh oui
• quel est l'avatar que tu as utilisé ?: Jensen Ackles <3
• ton personnage est un inventé ou un scénario ? : Inventé
• comment trouves-tu notre forum ?: Bah je suis dans le Staff so...
• tu veux un cookie ?: Si c'est Gaby qui l'offre !
• jt'embête avec mes questions, hein ?: Bah j'aurai pu ne pas y répondre !
• tu l'as connu comment notre forum ?: Gaby !
• le mot de la fin ?:Je l'ai rempli pour le plaisir !






Dernière édition par Alec D. Jamson le Mar 25 Jan - 20:09, édité 1 fois
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Alec D. Jamson
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MessageSujet: Re: Burn, Let it all burn...   Burn, Let it all burn... Icon_minitimeLun 24 Jan - 0:24



Burn, Let it all burn... 624513bann1
(c) tumblr - via boys with names like guns
    ✥ HOW I MET ME
Je les entends encore, le bruit des coups de feu, les hurlements qui me déchirent les tympans. Dans la bataille je ne suis pas seulement spectateur du désastre, je fais partie des pions présents sur l’échiquier. Je n’ai pas toujours été un tueur, je n’ai pas toujours été si froid. Distant peut être, mais jamais froid. Parmi les autres militaires qui continuent leur embardée, je reste planté là, mes yeux se perdant dans le vide, d’acteur je deviens spectateur. Un enfant perdu, sali, s’est mit à pleurer dans la ruelle qui me fait face. Je suis de profil, les militaires attaquants. Cet enfant semble apeuré, complètement perdu dans un monde de guerre plein de boue et de sang. Je suis là, armé jusqu’aux dents, sali aussi, l’enfant pleurniche, je ne bouge pas, jusqu’à ce que ce petit être humain si frêle et innocent ne se mette à courir dans ma direction, les traits tirés par une colère bien visible et reconnaissable et sous mes yeux ébahis le voilà qui s’effondre au sol. Mon instinct de survie avait pris le dessus. Je venais de tirer. « Mon Dieu protège nous… ».

Il y’a un an, j’étais loin de l’Ecosse, sur un autre continent. Le continent que la plupart jalousaient : l’Amérique. J’étais bien loin des champs de batailles et pourtant j’avais vu l’Irak un bon moment. Je n’étais pas rentré complètement brisé, plus silencieux c’est tout. Mon rayon de soleil résidait en Elle. Ma sœur. Nos parents n’avaient pas vraiment joués leurs rôles à merveille, du moins avec moi. Elle, c’était différent, vouée à faire une grande carrière dans la recherche. Je n’ai jamais été jaloux d’elle, jamais. Tout simplement parce que j’avais d’autres objectifs, me sentir utile au continent tout entier, me battre pour nous, ce que nous étions. Elle et moi avons toujours été proches. Ma sœur passe avant tout et la savoir là bas, parmi tous ces fous et virus, ce fut ça qui me fit partir. Quitter mon pays pour prendre part à la guerre qui se profilait là bas. Je ne l’ai toujours pas retrouvé à l’heure actuelle. Mon enfance ? Elle a été tout ce qu’il y’a de plus banal, des études quelques peu ratées, une déception voilà ce que j’étais. J’ai mis tous mes espoirs et mes rêves en Elle, je voulais qu’elle réussisse et elle a réussi. J’ai quitté le cocon familial à l’âge de 17 ans, me débrouillant comme je pouvais, de petits boulots en petits boulots, puis j’ai fini par m’engager dans l’armée. J’ai été entraîné, formé et je suis devenu Major après de longs mois et années de labeurs. Obtenir ce titre fut une véritable fierté pour moi, et pour Eden également. Pour une fois je faisais quelque chose qui la rendait fière Elle, à défaut de rendre fiers nos parents. Elle est d’ailleurs la seule à avoir encore des contacts avec eux, je ne leur parle qu’en cas d’extrême nécessité…

« Tu l’as laissé partir là-bas Alec, tout ce qui arrive est de ta faute. A trop vouloir l’encourager regarde où ça l’a mené ! Son corps gît peut être dans un coin à l’heure qu’il est ! Et tout ça à cause de toi ! ».

L’une des rares fois où je me trouvais devant lui. Ce jour là il me reprochait de l’avoir laissé partir. Les informations ne parlaient que de cette ville Dundee et de ce qui s’y passait. Une ville pratiquement mise en quarantaine. Oui il avait raison sur un point, je l’avais toujours encouragé. Debout face à lui, je ne pipais mot, notre relation père/fils était déjà beaucoup trop ébranlée et brisée pour que ce ne soit réparable. Jamais il ne me pardonnerait quoi que ce soit. Il était bien trop fier et orgueilleux. En silence, mes yeux s’attardaient sur la silhouette de ma mère présente non loin derrière ce Père qui continuait d’hurler au scandale. Elle ne bougerait pas, je le savais. Ils attendaient que je fasse quelque chose. Quelque chose qu’ils n’osaient pas me demander à haute voix, quelque chose qu’ils ne faisaient que suggérer par leurs regards ou encore leurs cris. Alors je savais. Un soupir s’échappait de mes lèvres. Trop lourd, avec l’ombre de quelques remords.

« Je pars en Ecosse. ».

Puis je rebroussais chemin, les mains dans les poches, sous le regard ébahis de mes géniteurs. Ce fut la dernière chose que je leur ai dit.


A peine arrivé en ville, ce fut la désolation partout. Etant major, je ne prends pas toutes les décisions, sachant que celles-ci reviennent aux Colonels, mais ici à Dundee, tout est différent, j’ai vite compris que les équipes ne marchaient plus vraiment, c’était devenu chacun pour soit. C’était à celui qui commanderait le mieux aux autres. Du moins, c’était comme ça que je le voyais. Notre mission ? Détruire tous les infectés, les exterminer un à un, femmes, enfants et même les animaux. J’appris plus tard qu’on ne se débarrassait pas que des malades, nous devions exterminer ce qu’ils appelaient les « rebelles ». Aucune trace de chercheurs, personne ne savait rien.

Cela fait maintenant plusieurs mois que je suis là, et rien n’a changé, il y’a toujours de plus en plus d’infectés chaque jour et l’armée a beaucoup perdu dans la bataille. Si je fais partie de l’armée de terre, en aucun cas je ne pense comme la plupart des militaires présents ici. Oh j’ai peut être deux trois amis et encore. Mon but ici est de retrouver ma sœur, je ne sais pas où elle se trouve, personne ne sait rien.

Je me lève de mon lit de camp et me passe de l’eau sur le visage, le bruit métallique de mes plaques résonnant lorsque je me penche vers le lavabo et me redresse, celles-ci cognant contre mon torse. Une nouvelle nuit à cauchemars, on s’y habitue à force. Ici, c’est comme si plus personne de l’extérieur ne se souciait de nous, leurs soldats, leur armée. Parfois je suis fier d’en être un, et parfois non…



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